LE TELEGRAMME : FESTIVAL DE LA SAINT LOUP 2022
L’AISNE NOUVELLE / LES TOXIC FROGS tête d’affiche du Festival Rock Plein’Air/ aout 2022
Entretien pour OUEST FRANCE / FESTIVAL DE LA SAINT LOUP aout 2022
Chronique pour LE JOURNAL D’UNE TATOUEE
Chronique pour NOUVELLE VAGUE
Chronique pour PROJOTIROCK
Interview pour les Belges de ROCK YOUR BRAIN
Magnifique chronique de « my lucky own » par les spécialistes du genre « London Celtic Punks » (en anglais)
EP REVIEW: TOXIC FROGS – ‘My Lucky Own’ (2021)
Première chronique de « My Lucky Own » par The Metal Mag ! (EN ANGLAIS)
Toxic Frogs : “My Lucky Own” CD & Digital 10th February 2021 Self Released.
ARTICLE DE OUEST FRANCE sur le concert aux Vendredis Branchés de Saint Renan
Vendredi soir, c’est un concert enflammé que les Toxic Frogs ont réservé au public, venu nombreux sur la place du Vieux-Marché. Pendant 1 h 30, les jeunes femmes ont joué de la musique aux sonorités irlandaises avec une rythmique et un esprit punk, sans oublier la touche de rock !Venues de la région Rhône-Alpes, les quatre artistes ont le privilège de faire partie du seul groupe féminin au monde d’Irish punk-rock. Ce sont des musiciennes hors pair, avec une carrière déjà bien remplie pour chacune d’entre elles.
« Ce qui nous plaît dans la musique celtique, c’est qu’elle est festive, dansante et joyeuse », précise Ella, chanteuse violoniste et fondatrice du groupe en 2014, ayant participé à la finale de l’émission La France a un incroyable Talent, en 2014 sur M6. Elvina, l’accompagne au violon et joue également de la basse tandis que Lucianne est à la guitare et Lydie à la batterie.
Le challenge de réunir uniquement des femmes est largement réussi car le groupe est demandé partout en France et en Europe, avec déjà une centaine de concerts assurés depuis 2015. Nommé « révélation musicale » du festival off du Festival Interceltique de Lorient en 2015, le groupe à l’identité propre et unique a sorti deux albums : Kill The Devil (2015) et The Mermaid’s Song (2017).
Page Facebook : Toxic Frogs.
ARTICLE DU TELEGRAMME sur Toxic Frogs
Très beau LIVE REPORT par FMR Live Pictures sur notre concert au Sixième Continent
Vendredi 21 avril au 6e Continent à Lyon, nous avons pris de nouveau une gifle magistrale avec plus d’1h30 de concert des Toxic Frogs qui croyez moi ne se sont pas ménagées sur scène.
Pour ce qui concerne Lyon, c’était vraiment la release party de leur nouvel Ep The Mermaid’s Song. Seulement entre les studios et la scène il y a un gouffre et nos 4 ‘tites grenouilles pourrait donner pas mal de fil à retordre à des formations de légende comme The Tossers, The Rhumjacks, The Mahones, Flogging Molly ou autre Real McKenzies.
Ce fut un vrai concert festif comme nous n’en voyons pas souvent où les filles avec grâce et sourire aux lèvres nous ont envoyé un Irish Celtic Punk Rock totalement expéditif et d’une qualité sans pareille.
La qualité musicale, l’humour, la gentillesse et la disponibilité sont bien toujours les moteurs de ce groupe unique et incroyable qu’il vous faut absolument venir découvrir en concert !!
Lucianne et Lydie avaient pensé à leur mini kilt tandis qu’Ella et Elvina devaient l’avoir oublié au pressing 😀 (y)
Cela ne fait rien car tout le punch et la virtuosité de ces 4 musiciennes d’exception ont envoyé le 6e Continent sur orbite avec un public totalement conquis dans cette ambiance festive qui nous a permis de déconnecter des périodes austères que nous vivons actuellement. Tant et si bien que les Toxic Frogs n’arrivaient plus à quitter la scène tant les acclamations du public montaient telles un ouragan d’amour et de joie !!
Merci du fond du cœur les Toxic Frogs pour tout ce que vous nous avez donnés une fois de plus. Le 6e Continent s’en souviendra et je vous jure que nous aussi 🙂
Vous trouverez tous les liens utiles concernant les Toxic Frogs juste ci-dessous y compris l’écoute de leur dernier album en streaming sur cdbaby (y)
https://www.facebook.com/toxicfrogs/
https://www.toxic-frogs.com/
https://www.cdbaby.com/cd/toxicfrogs
Another fantastic cd review by LONDON CELTIC PUNKS // Une autre fantastique chronique de « The Mermaid’s Song » par LONDON CELTIC PUNKS (in English // en anglais)
EP REVIEW: TOXIC FROGS- ‘The Mermaid’s Song’ (2017)
Great Album review by FOLK NEWS // Très belle chronique de notre nouvel album « The Mermaid’s Song » par FOLK NEWS (in german // en allemand)
Live report du 17/03/17 par la Tribune
Interview par le Quotidien // Zeltik Festival
Interview (Zeltik Festival, Luxembourg) par le Quotidien
Nice Review by Celtic Folk Punk (english)
http://celticfolkpunk.blogspot.fr/2017/03/2017-03-13-album-review-toxic-frogs.htm
INTERVIEW POUR « ROCKEUSES » à l’occasion de la sortie du nouvel album « THE MERMAID’S SONG »
Toxic Frogs : drôles et punchies !
En à peine deux ans, les Toxic Frogs ont conquis des publics variés avec une musique celtic-punk-rock unique en son genre. Les prestations scéniques des petites grenouilles espiègles prouvent que violons, guitares électriques et batterie peuvent s’unir pour le meilleur… et rien que le meilleur !
Interview du groupe.
Vous vous êtes autoproclamées « premier groupe féminin au monde de Celtic Punk Rock » ! Comment est née votre formation ?
En fait nous ne savions même pas que nous étions le seul et premier groupe entièrement féminin de Celtic Punk Rock ! C’est Phil de la radio américaine Paddy Rock qui nous en a informé, et on peut dire qu’en véritable passionné du genre il est plutôt au courant. Du coup on s’est dit que ce serait bien de mettre cet élément en avant !
Concernant l’idée de base, Ella la chanteuse violoniste a eu l’idée de réunir un groupe de nanas qui sachent jouer, scéniques et extraverties pour se marrer, tourner le plus possible pour se faire plaisir car cette musique galvanise les foules.
En tant que musiciennes pro, c’est la scène avant tout qui nous transporte, nous fait vibrer et nous donne envie de continuer.
Du coup, Ella a très vite trouvé l’équipe, direct le feeling est passé à tous les niveaux, et nous sommes parties en mode création comme si on se connaissait depuis toujours.
Dans des manifestations comme le Festival Interceltique de Lorient, porter une jupe écossaise, jouer du violon ou interpréter Dirty Old Town permet de séduire un public conquis d’avance. Ça se passe comment… à Roubaix ou à Bayonne ?
Tout d’abord il faut savoir que le public du Festival Interceltique de Lorient est très loin d’être un public conquis d’avance, même si on porte des kilts ! Au contraire, c’est le public test, le vrai public connaisseur du genre. Et on a eu la chance d’être de suite super bien accueillies, une vraie reconnaissance pour nous et même un soulagement !
Pour Roubaix, pas encore fait (sourire) ou ailleurs, même accueil, même chose, on a beaucoup de chance car même en arrivant devant 8000 personnes qui ne nous connaissent pas, c’est la même folie dans le public ce qui nous étonne à chaque fois. En juin dernier nous avons joué devant 1500 personnes assises dans des transats, public carrément familial de 2 à 80 ans. Ils ont terminé debout bras en l’air en chantant avec nous, juste magique !
Notre musique plait autant aux punk qu’aux enfants…. C’est une chance énorme. Concernant notre version de Dirty old town, c’est une des seules reprises que nous nous accordons justement parce que pas mal de gens la connaisse. Mais nos compositions plaisent tout autant (clin d’œil).
Votre premier vidéoclip Toxic Frog a été classé parmi les meilleurs clips 2014 par celtic-rock.de (Allemagne), et l’album Kill The Devil classé parmi les meilleurs albums 2016 par paddyrock.com (USA). Comment avez-vous atteint cette notoriété internationale ?
En balançant de partout notre premier vidéo clip réalisé en seulement deux jours avec les moyens du bord, c’est à dire les potes ! D’un coup tout le milieu irish punk rock mondial s’est emballé, et a kiffé. Là aussi, grosse surprise pour nous !!! Même chose pour notre premier album Kill The Devil, super accueil, que du bonheur !
Une grosse actualité vous attend le mois prochain avec la sortie de votre deuxième album. Que pouvez-vous d’ores et déjà nous révéler à son sujet ? Son titre The Mermaid’s Song et sa pochette sont-ils des indices quant à son contenu ?
Oui nous sortons le second opus, The Mermaid’s Song dont la pochette a été réalisée par le talentueux Chester Blood tout comme la pochette de Kill The Devil. Le titre de l’album est une chanson à tiroirs, très surprenante, et il faudra bien écouter les paroles pour en saisir à la fin tout le sens…. Le dessin de la pochette est en lien avec l’histoire, que Chester a brillamment su retranscrire.
Pour le style, c’est nous donc impossible à décrire. On peut juste dire qu’il y a de beaux chants de marins à la fin…. Un clip suivra d’ailleurs pour cet été si tout va bien, un scénario digne d’un film hollywoodien, faut-il encore qu’on trouve le financement ! Les autres titres sont plus affirmés que sur le premier album, nous avons juste adoré composer tous ces morceaux.
Il y a des titres bien punk, une gigue en trois parties, de l’irish punk rock pur, d’autres morceaux plus rock qui se terminent souvent en punk, et une belle balade comme on les aime, sur laquelle nous nous sommes éclatées niveau arrangements cordes notamment. En plus on a enregistré dans un super studio, et le mastering a été réalisé à Barcelone par un des meilleurs studios européens. Niveau son ça déchire.
Beaucoup de gens seront certainement surpris par The Mermaid’s Song mais nous n’en diront pas plus pour le moment !!
Merci pour cette interview. Nous attendons La chanson de la sirène avec beaucoup d’impatience.
Merci Rockeuses !
LIVE REPORT // SONS OF METAL
Mute + Toxic Frogs + Deep Merries, le 27 octobre 2016 au Jack Jack (Bron)
Encore une critique élogieuse notre EP « Kill The Devil » par les allemands de Folknews !!
Man nehme 5 sexy Girls, platziere eine von ihnen hinter ein Schlagzeug, teilt Bass, E-Gitarre und Geige aus und fertig ist die wohlmöglich erste Celtic Punk Girl Group der Welt. Heute möchte ich euch die 5 Girls von „Toxic Frogs“ aus Lyon (Frankreich) vorstellen. Mitgebracht habe ich ihr aktuelles Mini-Album „Kill the Devil“. Mit 7 eigenen Songs darunter ein Instrumental zeigen die Mädels, dass sie ihre Instrumente hervorragend beherrschen und liefern hier einen flotten, mitreißenden Celtic Punk ab. Mal langsamer mal schneller aber auf jeden Fall immer individuell und einzigartig.
Als wohl einzige Girl Group des Genres, gibt es natürlich keine Vergleichsmöglichkeiten mit anderen Bands, daher findet ihr unten in der Tracklist zwei verlinkte Youtube-Videos als Hörbeispiel. Klickt mal drauf und lasst euch von den süßen Französinnen beweisen, dass Celtic Punk ab sofort keine männerdominierende Musikrichtung mehr ist
Lange Rede kurzer Sinn, die 5 Mädels bringen jede Menge frischen Wind in die Celtic Punk Szene und ich bin mir ganz sicher, dass wir noch viel von ihnen hören werden. Wirklich nett, gefällt mir. Willkommen auf der Tanzfläche 😉
http://folknews.de/toxic-frogs-kill-devil-2015/
« Kill The Devil » dans le top 30 américain des meilleurs albums 2016 d’irish punk rock !!
http://www.paddyrock.com/home/beggars-best-of-2015/
« Kill The Devil » dans le top 30 allemand des meilleurs EP 2016 d’irish punk rock !!
http://celticfolkpunk.blogspot.com.es/2015/12/best-of-2015-celtic-punk-rock-albums.html
1ère chronique internationale de notre EP « Kill The Devil »/First International Review for our EP ‘Kill The Devil »
http://celticfolkpunk.blogspot.com.es/2015/12/review-toxic-frogs-kill-devil-2015.html
Interview par Rythmes Croisés au Festival Interceltique de Lorient 2015 !
« On a souvent pu reprocher aux différents programmateurs du OFF de ne proposer que des groupes de rock, parfois même très bruyants, dont la musique n’avait absolument rien de celtique. Cette année, nous avons eu l’heureuse surprise de découvrir un groupe de rock aux influences punk mais dont la musique prenait aussi des couleurs celtiques grâce à la présence d’un, voire de deux, violon(s).
TOXIC FROGS est une toute jeune formation, entièrement féminine, qui nous vient de Lyon. Les quatre filles, Ella (chant, violon) Elvina (basse, violon, chant) Lucianne (guitare électrique, chant) et Lydie (batterie, chant) se sont livrées à un véritable marathon en étant présentes durant tout le festival (avec un jour de relâche, quand même !) et en proposant chaque soir des concerts électriques dans tous les sens du terme, interprétant leurs compositions et des reprises déjantées (Dirty old Town). Le public ne s’y est d’ailleurs pas trompé et a réservé aux TOXIC FROGS un véritable triomphe. »
STENDHAL a écrit dans L’abbesse de Castro que « les femmes aiment la bravoure et surtout l’audace ». Les filles de TOXIC FROGS l’ont assurément prouvé.
Entretien avec TOXIC FROGS
Comment le groupe s’est-il formé ?
Ella : J’ai eu envie de monter un groupe de nanas dans l’irish punk rock car ça n’existait pas. J’avais surtout envie de ne jouer qu’avec des filles et dans ce style parce que le côté festif me plaisait. J’avais déjà joué avec un groupe qui marchait bien dans ce style et j’avais envie de retrouver le public complètement frais et hystérique, on peut le dire, qui bouge bien. Le délire est venu de là. J’ai fait appel à mon réseau musical sur Lyon, j’ai trouvé les filles très vite et ça l’a « fait grave » très vite.
Vous vous connaissiez avant de former le groupe ?
Lydie : Je connaissais Elvina, qui a rencontré Ella et qui m’a demandé si ça m’intéressait. J’ai fait « Ouais » !!! (rires)
Pourquoi un groupe de filles simplement ?
Ella : On n’a rien contre les hommes qu’on adore vraiment on n’est pas dans un mouvement féministe comme les Femen. Après, on défend la cause des femmes s’il le faut ! On est moyennement engagées. Par contre, c’était un délire pour arrêter le machisme autour de nous. On ne s’en rend pas compte, mais même dans la musique, il y a du machisme et il y a aussi beaucoup de misogynes. Il y a beaucoup de cas sociaux dans la musique qui ont des problèmes d’égo et de frustration. On avait clairement envie de leur mettre une baffe (rires) ! En fin de compte, on s’entend bien entre nanas et ça se passe super bien.
Vous êtes un groupe professionnel ou amateur ?
Elvina : On est toutes professionnelles et toutes intermittentes du spectacle.
Ella : C’est notre métier depuis longtemps déjà !
Vous arrivez à en vivre ? Vous avez assez de dates pour tourner ?
Ella : On est un tout jeune groupe. On a moins d’un an et notre tout premier concert était fin janvier 2015. On a fait l’Interceltique de Lorient pour se faire connaître, faire nos preuves et voir si les gens aimaient. Cela a très bien marché. C’est un coup de poker parce qu’on ne savait pas trop. On aimerait ne faire que tourner et ne vivre que de ça. On le fait déjà avec d’autres formations et d’autres projets. Mais c’est vrai que si on peut développer davantage les TOXIC FROGS, on fonce !
On peut qualifier votre musique de punk rock ou punk celtique. Pourquoi ce style ?
Lydie : Parce qu’on peut bourriner comme des fous à la batterie (rires) !
Ella : Notamment (rires) ! Alors, pourquoi ce style ? D’abord parce que je suis violoniste, Elvina est violoniste et on a une autre violoniste, Perrine, qui n’est pas là actuellement. On est trois violonistes dans TOXIC FROGS. Marier le rock au punk, ça donne un truc complètement fou. On s’éclate sur scène et les gens s’éclatent aussi. C’est pour ça, en fait !
Avez-vous des artistes quoi vous ont influencées ?
Ella : Les MAHONES, que je connais. On a fait un co-plateau à Washington du temps où j’étais avec un autre groupe, au Shamrockfest, qui est un énorme festival aux USA. Je les adore, notamment Katie « Kaboom » qui est super douée et qui est scénique. Sinon, on aime les DROPKICK MURPHYS, FLOGGING MOLLY, THE REAL MCKENZIES.
Pourquoi ce nom TOXIC FROGS et cette thématique de la grenouille ?
Ella : C’est venu d’un délire ! Pour les anglais, les français sont des grenouilles et aussi par rapport aux grenouilles toxiques d’Amazonie. On se considère comme des grenouilles bondissantes qui intoxiquent les gens. L’image de la grenouille s’est imposée dans le logo et tout le reste. On peut la décliner et ça nous faire rire. C’est un bon truc.
Elvina : On voulait aussi une mascotte.
C’est votre premier passage à Lorient. Qu’en retiendrez-vous ?
Lucianne : Le public est super cool !
Elvina : Il est hyper réceptif. Il est là pour s’amuser et n’est pas non plus dans l’excès. Les bretons sont un très bon public.
Vous avez eu des sollicitations suite à votre passage ici ?
Ella : Oui, mais on ne peut pas trop en parler évidemment ! On a eu pas mal de programmateurs qui sont intéressés en Bretagne ou ailleurs. Ce qu’on veut, c’est jouer le plus possible. On prend tout !
Avez-vous eu l’occasion de rencontrer d’autres musiciens ?
Ella : on a adoré KERVEGAN’S. Ils sont sur le OFF depuis douze ans. On a aussi aimé FFR. Marine est une super violoniste. Ils ont fêté leurs quinze ans.
La pochette de votre CD est originale (une grenouille en kilt tuant le diable). Qui l’a créée ?
Ella : Chester BLOOD, un super dessinateur, dans la mouvance punk ! Il nous a contactées un jour sur Facebook. Il nous a dit qu’il avait aimé notre projet et que si on avait besoin, il nous faisait un visuel ou nous dessinait ce qu’on voulait. A la sortie de notre premier CD, on n’avait pas encore décidé du visuel. On lui a donné le titre, Kill the Devil, (tuer le diable) en lui disant que si ça l’inspirait, il pouvait nous envoyer des trucs. Il nous a fait plusieurs propositions et on s’est décidé sur une. Il fait ça gratuitement. Il est super doué. Il a déjà travaillé pour LES RAMONEURS DE MENHIRS. Il faut en parler de Chester BLOOD, il est top !
Article et compte rendu complet du FIL 2015 visible ici :
Un autre Live Report très élogieux par Pavillon 666 sur notre concert au Festival Serpaize en Rock du 10/10/15
« Seconde surprise de la soirée avec l’arrivée sur les planches des filles de TOXIC FROGS. Ce combo de punk-celtique va avec un dynamisme hors-normes mettre en mouvement les participants de la soirée dans une ambiance festive à souhait. Ces filles spirituelles de groupes comme Dropkick Murphys ou The Real McKenzies vont, avec une énergie folle tenir la scène de Serpaize avec brio et tenir le public dans le creux de leurs pattes. Devant nos yeux médusés, ça virevolte, ça tournoie, les musiciennes s’échangent leurs instruments, violons, mais aussi la base de tout rock, fut-il punk, le fameux trio guitare/basse/batterie. Et ça chante, ça interpelle, ça réplique, bref c’est on ne peut plus frais et vivant, le tout mené sur un rythme d’enfer. Les lyonnaises se sont payé le luxe de jouer au dernier Festival Inter-celtique de Lorient entre autres et ce soir ces musiciennes ont décidé de nous montrer à Serpaize de quoi elles sont capables. Du coup nous avons dégusté dans tous les sens du terme, ce mélange fusionnel de punk, de rock et d’évasion Irlandaises et Bretonnes, ce fut sans appel. Alors les filles c’est quand vous voulez, nous adhérons pleinement à votre démarche, et même plus…. »
Article complet et photos visibles ici :
Super Live Report par Sons Of Metal sur notre concert au Festival Serpaize en Rock du 10/10/15
On change complètement de registre avec Toxic Frogs, un quatuor (en réalité un quintet) féminin jouant du Celtic Punk Rock. Les grenouilles démarrent leur prestation devant un public bien fourni, proche de la scène. La prestation démarre et le premier titre donne le ton : partitions envolées de violon mêlées à des riffs de guitare bien Rock, une basse percutante (souffrant d’un souci technique faisant grésiller les micros) et une batterie percutante. J’ai dit que le groupe était un quintet mais, ce soir, il manque un membre : Perrine, violoniste, est absente. De fait, les morceaux perdent un peu de leur tessiture d’origine mais cela n’est pas gênant dans la mesure où Ella (chant et violon) et Elvina (basse et violon) assurent comme des cheffes. Ces dernières glisseront d’ailleurs un mot en hommage à Perrine. Le concert se poursuit dans une ambiance de fête celtique. On a même droit à une devinette de la part de la chanteuse : qu’est ce qui est vert et rouge dans un mixeur ? Je vous laisse trouver. Ella introduit une chanson en demandant aux Bretons présents d’entamer une danse folklorique de leur terre d’origine. Pour la première fois dans cette soirée, le public bouge avec entrain. Les spectateurs dansent, se chamaillent, se bousculent. Même Tom Hamilton n’était pas parvenu à faire ça. D’ailleurs, on parlant de ça, on peut apercevoir les Anglais camper devant la scène, captivés par les grenouilles. Celles-ci sont au taquet, Lucianne (guitare) alignant les riffs acérés soutenus par la basse grondante d’Elvina. Au fond de la scène et malheureusement pas éclairée, Lydie martèle ses fûts avec beaucoup de précision. Les Toxic Frogs ne ménagent pas leurs efforts un seul instant et c’est littéralement à même la scène qu’elles finissent leur concert, applaudies par un public ravi et pleinement acquis à leur cause. Un excellent concert qui aura réchauffé la salle et réveillé une assistance jusque-là un peu trop inactive.
Aricle visible sur :
http://sons-of-metal.com/2015/10/13/serpaize-en-rock-le-10-octobre-2015-a-serpaize/
Très bel article suite à notre tournée au Festival Interceltique de Lorient !!!
Article paru dans le Festicelte 2015 n°6, le quotidien du Festival Interceltique de Lorient
« Bien déjantées les filles de TOXIC FROGS enflamment les terrasses du OFF : fabuleux !!!! » Festival Off de Lorient Officiel
« Toxic Frogs, LA bonne surprise musicale du Festival Interceltique de Lorient » Nanook Webzine
Interview pour Irish Punk !!!
http://punk.ie/interview-with-toxic-frogs/
Que les machos se tiennent à carreaux, Toxic Frogs envoie du gros !
En ce mardi 7 Avril, une bande de nanas avait donné rendez vous à la faune locale pour patauger avec eux dans la mare Ninkasi.
Malins sont ceux qui ont accepté. Pourtant, lors de l’installation, les visages sont tendus, la pression ? Non me dit Elvina, dans un sourire presque forcé! Mais j’ai confiance, elles ont beau être toxiques, je suis sûr de ne pas me tromper de grenouilles.
Et puis quand tu te retournes et que tu vois une horde de cuisses prête à danser, on ne peut pas se tromper ! Quelques masques étranges parmi les animaux présents d’ailleurs.
Mais ne nous égarons pas, les Frogs entrent sur scène. À la baguette (ou auchevalet), Ella. Elle réunit autour de Lydie les autres rainettes , et voilà qu’Elvina lance le show avec un « Hey » énergique! Alors qu’elles enchaînent avec un air plus celtique que sceptique, Ella accompagnée d’Elvina au chant, commence à chauffer la foule. Les violons électriques entrent dans la danse, ça swinge dans les nénuphars. D’abord lent, puis de plus en plus rapide, chacun tape du pied au son des futs de Lydie et des archets de Perrine et Ella. On ne commentera pas le petit croâc, ou couac, l’ingé son règle les sonorités à la demande de chacune rapidement.
On enchaîne sur le deuxième morceau, avec un sympathique duo violonesque Ella-Perrine, droit dans les yeux, sourires aux lèvres, elles envoient déjà les têtes valser dans l’assistance. Du haut de ses talons rouges, Lucianne prend son pied et ses cordes, sautant en rythme, jouant à l’unisson, ça rocks de la grenouille et du punk.
Sorti de derrière les marécages, un solo de violon du plus bel effet, Ella s’acharne sur son instrument et son archet.
C’est alors qu’arrive un crapaud (Suisse peut être, je ne me fie qu’à la tenue!) qui se mêle au quintet et armé de sa percu, donne le rythme, suivi par des grenouilles toutes souriantes au vue de l’accueil réservée. La salle, comportant quelques masques de grenouilles, sautille et danse au rythme des musiciens. On sent le plaisir ressortir des enceintes !
Les mélodies se suivent et ne se ressemblent pas, avec maintenant un morceau plus doux, mais non pas moins entraînant. Je me croirais presque emmené sur un beau voilier, chevauchant les flots et l’écume. Ne larguez pas les rainettes, nous sommes happy, le navire frogs est lancé, on ne peut l’arrêter. Une chanson qui emporte, transporte, loin de la ville et de la foule.
Allez bam, c’était bien la balade? Reviens sur terre, il est temps de repartir à l’aventure. Les violons crissent, la guitare s‘excite, la basse devient énergique. Ici, Lucianne passe à la basse, Elvina à la gratte.
Ca envoie du bouzin, la corde claque, les doigts s’agitent, les pieds s’excitent, les frogs sans un tic.
Ce morceau pourrait tout droit être sorti de Galway, il ne donne qu’une envie : s’éclater les pieds !
On enchaîne sur une reprise de Rose Tattoo des Dropkicks Murphys, Lucianne fait résonner ses 6 cordes, les violons suivent dans un morceau presque langoureux… Mais que nenni! Viens on s’emporte pour mieux faire valser la foule!
Je suis épris des reprises des ladies, je suis conquis, pris dans la valse des violons et le tempo de la batterie et le ton juste de la voix remplie d’émotions d’Elvina.
Main dans la main, on se bouge du coté du Ninkasi! Cette fougue aurait pu venir plus tôt, car les nanas ne se sont pas retenues, mais elle fait plaisir à voir.
Hier, elles ont bouclé leur projet de financement pour leur album, un opus qui promet de croasser dans les enceintes. Et si t’as pas compris que tu loupais quelque chose, dépêche toi de plonger dans leur monde. »
Live Report par Joël Kuby !!
« Toxic Frogs ce sont 5 nanas plus mignonnes les unes que les autres aux influences musicales très larges qui vont du rock au jazz en passant par les musiques du monde, des violons pour le côté celtique, une bonne grosse dose de punk et surtout une pêche d’enfer ! Ces grenouilles là sont effectivement toxiques, goûtez y et vous serrez contaminé. Début de concert en trombe elles annoncent d’entrée de jeu la couleur de leur set qui sera bourré d’énergie. Ella prend le lead au chant mais on sent bien toute la complicité entre elles et la possibilité que chacune a à pouvoir s’exprimer avec son instrument, c’est un groupe soudé où chacune est indispensable. J’adore les envolées des violons de Ella, Perrine et Elvina, tantôt à 2 tantôt à 3, les solos de guitare majestueux de Lucianne, la batterie parfaitement menée de Lydie, soutenue par une basse subtilement dosée par Elvina. Moi qui suis fan de groupes féminins j’étais aux anges ! D’autant plus quand ça joue bien comme ici. Les morceaux de punk celtic laissaient parfois place à de sacrés danseurs de claquettes irlandaise dont l’incroyable Sébastien Jacquemin, danse très technique au jeu de jambe hallucinant alors que les bras doivent rester bien droit le long du corps. Le final était fou, tous les danseurs étaient sur scène pour reprendre les classiques celtiques orchestrés par le groupe, superbe ! L’ambiance était très détendue lors de l’interview dArnaud, on en découvre un peu plus sur ce beau projet qui va lancer un kisskissbankbank d’ici peu afin de financer la réalisation d’un EP, je ne manquerai pas de faire relayer l’info ici et sur ma page Facebook. Prochain concert au le 7 avril au Ninkasi Gerland, le rdv est déjà calé dans mon agenda, vous venez ? »
Perrine Missemer à l’honneur au violon:
La violoniste et ses pairs, toujours scrutant pour l’originalité, surprennent avec un groupe de Punk Rock entièrement féminin, Plaçant le Violon sur un piédestal comme rarement il n’a jamais été valorisé, avec des couplets/phrases entièrement interprétés au violon, Et, surtout, plaçant la Femme sur un piédestal, dans un clip où les hommes ne sont que de ridicules grenouilles faces à ces princesses musiciennes.On y verrait presque un hommage au féminisme, le tout surfant avec toujours autant d’humour et avec une extrême originalité; on ne peut aisément discerner une quelconque influence.
Article visible sur le site : soundssobeautiful.net